Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

samedi 6 novembre 2010

"Pour ne pas finir au placard, le bureau de cet employé n'en avait pas". Benoît Barvin in "Pensées à contre-pieds"


TEMOIN A CHARGE (2)
Pour la première "charge", voir au 
VENDREDI 13 AOÛT 2010

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"Mais enfin, James, ce n'est pas moi qui ai mis ces empreintes
 sur ce guéridon que vous venez de nettoyer!
- Que Monsieur m'excuse, mais je ne le crois pas"


Witness for the prosecution (1957)

(La révolte de la caste des domestiques commença ce jour-là)


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"J'aime beaucoup tes jambes...
- Et moi, ton fric"



(Cette call-girl était franche, ça, on ne pouvait pas le lui retirer)


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"Mais enfin, vous pourriez faire réparer 
le système de climatisation!
- Cher associé, votre p... nous coûte trop cher"




(L'idée du  meurtre de son grossier associé naquit ce jour-là)

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"Ma perruque? Qu'est-ce qu'elle a ma perruque? 
Et votre galurin, hein, vous croyez 
qu'il vous donne un meilleur sex-appeal?"


(La plaignante comprit trop tard 
que le président du tribunal n'avait aucun humour)


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"Monsieur le Président! Rendez-moi 
immédiatement ma petite culotte!
- Petite culotte... fendue, huhuhuhu..."


(C'est ce jour-là qu'en guise de cadeau, 
ce facétieux magistrat reçut une magnifique balle 
dans le crâne"


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Jacques d'Amboise

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