Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

lundi 26 janvier 2015

"Au niveau des principes l'Homme élastique était rigide". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet".

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Pensées pour nous-mêmes:

(L'ARBRE PEUT-IL PLOYER
SOUS LE POIDS DE LA BRANCHE?)

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"Bisous, bisous...
- Enfin, Chérie, pas devant tout le monde!"



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(Les indics français disposent de radars naturels
pour voir à travers les murs)



ÉTATS-UNIS

La police américaine dispose 
de radars pour voir à travers les murs


   (...) Le quotidien américain USA Today a dévoilé le 20 janvier que plusieurs agences de sécurité américaines, comme le FBI et le US Marshals Service, utiliseraient depuis deux ans déjà un dispositif de radar leur permettant de voir efficacement dans les maisons à plus de 15 mètres. C'est le témoignage d’un agent fédéral américain devant un tribunal à Denver qui a révélé leur emploi, en décembre. 

   Selon l'article, les radars fonctionnent en utilisant les ondes hertziennes "pour détecter des mouvements aussi légers que la respiration humaine". Ces appareils, "initialement élaborés pour servir en Irak et en Afghanistan", permettent de repérer la présence d’un individu dans une maison, sa position et ses déplacements. (...)

   Cette technologie, largement inconnue du grand public, soulève naturellement des questions juridiques relatives à la vie privée. "La Cour suprême des Etats-Unis a indiqué que les officiers de police ne pouvaient généralement pas utiliser de détecteurs de haute technologie pour révéler l’intérieur d’une maison à moins d’obtenir auparavant un mandat de perquisition", ce qui n’était pas le cas ici, explique le journal. 

   Les agents fédéraux américains contactés par USA Today prétendent que "l’information recueillie par ces détecteurs est essentielle dans certaines situations", comme les prises d’otages. Reste que plusieurs questions se posent. "Comment les juges peuvent-ils être surpris par une technologie que la police a entre les mains depuis au moins deux ans ?" s'interrogent les avocats spécialisés dans les questions de vie privée.


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(La fraise qui refusait d'être croquée
énervait beaucoup Gloria)



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Benoît Barvin

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