Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

vendredi 20 février 2015

"Ce philosophe mondain philosophait toujours après avoir bu quelques cocktails". Jacques Damboise in "Pensées inconvénientes".

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Pensées pour nous-mêmes:

(A LA BOURSE DE LA VIE,
TON TEMPS EST DES PLUS PRÉCIEUX)

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(Si les yeux de ma Belle-Mère étaient de vrais pistolets,
les miens ne lui cédaient en rien, question mitraille...)



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(Jeune homme rêvant de devenir journaliste
propagandiste)



MÉDIASSwissleaks :

scandale au "Daily Telegraph"


   (...) Le journaliste politique Peter Oborne, l’un des principaux chroniqueurs du grand quotidien britannique, a démisionné de son poste. Il dénonce l’absence de couverture de l’affaire HSBC (Swissleaks) par le Daily Telegraph. Pour Peter Oborne, le journal a failli à son devoir d’information pour protéger ses revenus, la banque britannique étant un important annonceur du quotidien. 

   Dans une lettre postée sur le site Open democracy et intitulée “Pourquoi j’ai démissionné du Daily Telegraph”, le journaliste écrit : “La couverture récente sur HSBC revient à une forme d'imposture vis-à-vis des lecteurs”.

   Peter Oborne affirme que depuis le début de l'année 2013, le journal décourageait tout papier critique sur HSBC. La banque avait alors suspendu l'achat d'encarts de pub après la publication par le Telegraph d’une enquête sur les comptes d'HSBC à Jersey. Sir David et Sir Frederik Barclay, les propriétaires du journal, vivent sur l'île voisine de Sark, précise le Guardian, qui rapporte les propos d'Oborne. 

   HSBC est “l’annonceur que vous ne pouvez pas vous permettre d’offenser, au propre comme au figuré”, aurait déclaré, selon Peter Oborne, l'un des anciens dirigeants du journal. 

   "Si les grands quotidiens permettent aux entreprises d’influencer leur contenu par peur de perdre leurs revenus issus de la publicité, la démocratie elle-même est en péril", poursuit le commentateur. Le journaliste demande à la direction, dirigée par Murdoch McLennan, et aux propriétaires, les frères Barclay, d'expliquer la ligne éditoriale du journal. Il réclame l’ouverture d’une enquête par un organisme indépendant.


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Benoît Barvin

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